Étude de prix et établissement des budgets prévisionnel
L’activité d’une entreprise de travaux publics génère naturellement des dépenses et
des recettes financières.
Les recettes sont constituées par la rémunération des prestations réalisées, de service ou de
production. Cette rémunération est calculée par l’application de prix unitaires des ressources
(calculé ou négocié) sur des quantités produites et mesurées ou forfaitaires. Ces prix sont
particuliers à une affaire et ils sont reportés sur la pièce contractuelle du marché (bordereau de
prix).
Les dépenses de chantier (appelées communément « déboursés ») sont constituées par les coûts
de consommation des ressources utilisées à la réalisation des prestations. L’estimation des coûts
est obtenue par la quantification de chaque unité de ressources nécessaire à la prestation.Le concept de base de calcul des prix est le suivant:Prix de vente = Prix de revient + BénéficeL'application du concept de base devrait logiquement engager la personne chargée de l'étude de
prix à déterminer le véritable prix de revient total du projet. Il devrait tout d'abord définir
l'ensemble des ressources à mettre en œuvre pour réaliser l'ouvrage à construire, et la durée de
leur utilisation. Cela reviendrait, pour lui, à établir un planning détaillé et un budget des dépenses
prévisionnelles correspondantes, pour chaque affaire à l'étude.
Dans le contexte économique actuel de concurrence serrée, les entreprises répondent à plus de dix
appels d'offres ou autres devis pour obtenir un marché. L'application du concept de base génère
une masse de travail d'étude importante et onéreuse, en regard du « déchet » occasionné.
Il a fallu, en conséquence, imaginer et développer des méthodes d'études de prix permettant, le
plus rapidement possible, (donc en minimisant les dépenses), d'estimer rigoureusement les prix à
remettre.
Ces méthodes sont fondées sur l'établissement de sous-détails alimentés en termes de rendements
et de ressources par l'expérience acquise, le bon sens, et aussi, quelquefois, un peu de chance. Des
coefficients purement stratégiques sont adjoints aux éléments techniques pour compléter les bases
de l'offre.
L'Engagement financier qui résulte d'un marché « gagné » démontre la nécessaire qualité et la
justesse de vue que ces méthodes doivent intégrer. Ne pas les appliquer pourrait en effet faire
courir un gros risque à l'entreprise, celui de ne pas atteindre ses objectifs de profits. Ce risque
pourrait apparaître dans les deux cas suivants :
- soit en traitant trop bas et en perdant de l'argent en travaillant;
- soit en traitant trop haut et en « ratant » l'affaire en conséquence
des recettes financières.
Les recettes sont constituées par la rémunération des prestations réalisées, de service ou de
production. Cette rémunération est calculée par l’application de prix unitaires des ressources
(calculé ou négocié) sur des quantités produites et mesurées ou forfaitaires. Ces prix sont
particuliers à une affaire et ils sont reportés sur la pièce contractuelle du marché (bordereau de
prix).
Les dépenses de chantier (appelées communément « déboursés ») sont constituées par les coûts
de consommation des ressources utilisées à la réalisation des prestations. L’estimation des coûts
est obtenue par la quantification de chaque unité de ressources nécessaire à la prestation.Le concept de base de calcul des prix est le suivant:Prix de vente = Prix de revient + BénéficeL'application du concept de base devrait logiquement engager la personne chargée de l'étude de
prix à déterminer le véritable prix de revient total du projet. Il devrait tout d'abord définir
l'ensemble des ressources à mettre en œuvre pour réaliser l'ouvrage à construire, et la durée de
leur utilisation. Cela reviendrait, pour lui, à établir un planning détaillé et un budget des dépenses
prévisionnelles correspondantes, pour chaque affaire à l'étude.
Dans le contexte économique actuel de concurrence serrée, les entreprises répondent à plus de dix
appels d'offres ou autres devis pour obtenir un marché. L'application du concept de base génère
une masse de travail d'étude importante et onéreuse, en regard du « déchet » occasionné.
Il a fallu, en conséquence, imaginer et développer des méthodes d'études de prix permettant, le
plus rapidement possible, (donc en minimisant les dépenses), d'estimer rigoureusement les prix à
remettre.
Ces méthodes sont fondées sur l'établissement de sous-détails alimentés en termes de rendements
et de ressources par l'expérience acquise, le bon sens, et aussi, quelquefois, un peu de chance. Des
coefficients purement stratégiques sont adjoints aux éléments techniques pour compléter les bases
de l'offre.
L'Engagement financier qui résulte d'un marché « gagné » démontre la nécessaire qualité et la
justesse de vue que ces méthodes doivent intégrer. Ne pas les appliquer pourrait en effet faire
courir un gros risque à l'entreprise, celui de ne pas atteindre ses objectifs de profits. Ce risque
pourrait apparaître dans les deux cas suivants :
- soit en traitant trop bas et en perdant de l'argent en travaillant;
- soit en traitant trop haut et en « ratant » l'affaire en conséquence
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